FESTIVAL FACTORY 23 - 9ème édition
La Plateforme FACTORY, en étroite collaboration avec ses partenaires le Festival de Liège et La chaufferie acte 1, a le plaisir de vous présenter la 9ème édition de son festival, qui aura lieu du 12 au 16 septembre 23. Une belle invitation à entrer au coeur du travail des d'artistes et compagnies émergent·e·s en assistant à 1 création, 5 étapes de travail, 4 présentations de projet et 3 étapes musicales.
Les nouveautés : le Festival FACTORY s'ouvre à la danse et à la musique en proposant des projets portés par des chorégaphes et des musicien·ne·s émergent·e·s (danse : So!?What, N_oir ; musique : OTTUS, Léa Pochet, Lemon Felixe).
Aussi, le mardi 12 septembre*, le Festival FACTORY emménage pour un soir au Centre culturel de Chênée. L'occasion de créer un espace de rencontre et de réflexion entre habitant·e·s de Liège et sa périphérie.
1 creation
5 etapes de travail
4 presentations du projet
3 etapes musicales
PASS FACTORY 16€
Le Pass Factory est valable les 5 jours et donne accès à toute la programmation.
J'AI LES BLEUS DE L'ORAGE* & les concerts OTTUS, LEA POCHET, LEMON FELIXE**
sont également accessibles hors Pass Factory au prix de
*14€ (tarif plein) – 12€ (tarif réduit)
**10€ (sur place) – 8€/place (prévente)
le 12 sept.
au Centre CUlturel de Chenee
rue de l'Eglise 1-3/4032 Chênée
du 13 au 16 sept.
au Manege fonck
rue Ransonnet 2/4020 Liège
*
1 CREATION
J'ai les bleus de l'orage
Line Guellati
manege fonck
13.09 - 21h + 14.09 - 21h
Certaines personnes vivent des choses que d’autres ne voient pas. Comment en parler ? Dans J'ai les bleus de l’orage, Line Guellati aborde la marginalisation et l’isolement des êtres qui vivent des souffrances psychiques. Avec humour et décalage, elle donne à voir différents parcours au sein d’une famille et met en lumière les manques de la société face à la santé mentale. L’autrice questionne le soin apporté aux personnes neuroatypiques, les tabous qui créent des fossés entre les individus et la place de la médication. Comment faire soin collectivement et comment laisser de l’espace aux différentes manières de percevoir le monde ? Les troubles psychiques sont encore méconnus et peuvent parfois susciter de la crainte. Inspirée de son vécu en tant qu’aidante dans sa propre famille, Line nous fait vivre des moments de flou tout en nous faisant voyager dans la poésie.
Écriture, mise en scène, jeu : Line Guellati | Jeu : Marion Lory, Amélie Lemonnier, TheMany AntojO | Complices de création : Violette Pallaro (regard extérieur) et Fatou Traoré (chorégraphe) | Création son : Laryssa Kim | Scénographie : Clémence Thiery et Caribaï (création picturale) | Création lumière, régie générale : Benoît Vanderyse | Soutien costumes : Louise Vacher Weiss | Régie tournée : Camille Loquet | Témoignages : Fathia Id-Boufker, Valérie Vuylsteke, Ellen Godec | Prod. : Darouri Express | Coprod. : La Charge du Rhinocéros, Le Festival de Liège | Soutiens : Fédération Wallonie-Bruxelles, Factory/ Liège, Curieuse Résidence 2019/Festival Voix de Femmes, Association Beaumarchais-SACD, Commission Communautaire Française, La Fabrique de Théâtre, L'Ancre, La Vénerie, La Maison des Cultures de Saint-Gilles, La Roseraie, LookIN’OUT, Ad Libitum, Studios Virecourt, Compagnie MAPS, CED | Diffusion : La Charge du Rhinocéros | Remerciements : Élisabeth Guellati-Pourny, Annette Gatta, Camille Husson, l’Autre lieu, Parhélie, Profamille, Revers Asbl, Créahm-Bruxelles | ©Caribaï/Line | Durée : 1H15
5 ETAPES DE TRAVAIL
n_oir
Gold Mayanga
manege fonck
15.09 - 21h + 16.09 - 20h15
Léa Quinsac | Tatia Tsuladze
manege fonck
15.09 - 20h20 + 16.09 - 18h30
Et si nous pouvions réellement être en tête-à-tête avec soi-même ? Qui est cet autre qui me partage ses idées ? Sommes-nous seuls en soi ? Notre esprit est-il singulier ou pluriel ?
Dans cette pièce, des corps se rencontrent pour donner lieu à un dialogue entre plusieurs « Je » d’un « Moi ».
Le jeune chorégraphe et danseur, Gold Mayanga développe un langage chorégraphique singulier, fougueux et exigeant qui mêle le hip-hop et le contemporain. Sa passion pour la danse a commencé avec le krump avant de découvrir le hip-hop et le contemporain. Deux styles qu’il lie étroitement dans son travail. Avec sa compagnie Hakary, créée en 2022, il accompagne de jeunes danseurs urbains dans leur professionnalisation.
Chorégraphe : Gold Mayanga | Dramaturge : Cindy Claes | Danseurs : Armel Kabamba, Joseph Mabiala, Gold Mayanga | Composition musicale : Keita Joseph | Durée : 20'
C’est la fin de l’été en Géorgie, dans un petit village aux frontières de l’Arménie, de la Russie et de l’Azerbaijan. Dans cet endroit à la marge du monde où les souvenirs, les désirs et les fantômes ne font qu’un, Touta rend visite à sa famille.
Ce soir, la table est dressée pour fêter son arrivée mais iels ne seront que quatre. Le deuil d’un jeune cousin a reclu le reste de la famille. Ce soir, il y a plus de femmes que d’hommes. Peut être que ce soir, la parole leur appartiendra. Peut-être que debout sur les tables, elles porteront les toasts.
Veluri est une grande fête où la musique et le théâtre libèrent le soulèvement et le débordement. Les secrets qui se cachaient sous la nappe parviennent à danser sur la table et les spectres se joignent aux protagonistes pour chanter un ultime cri d’amour.
Ecriture : Tatia Tsuladze | Mise en scène : Léa Quinsac | Jeu : Anais Aouat, Garance Durand-Caminos, Léonie Floret, Tatia Tsuladze | Collaboration artistique/ dramaturgie/ costumes : Solène Valentin | Musicienne/créatrice sonore : Léonie Floret | Avec le soutien : de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de La FACT, du BAMP, du KJBI, du Théâtre Océan Nord, de la Plateforme Factory/Liège et l’aide à la production du KANAL-Centre Pompidou | Durée : 30'
Marina Yerlès | Réflexive Compagnie
manege fonck
13.09 - 20h + 14.09 - 19h35
Simone de Beauvoir écrivait : « On ne naît pas femme, on le devient ». Mais comment ?
Quatre acteur·rices, trois femmes et un homme, évoluent sur un plateau qu’iels ne quittent jamais et virevoltent, s’échangeant les rôles et les registres. SHUT UP AND SMILE explore l’expérience de fille à l’adolescence comme un champ de mines, à travers les regards de Zoé, Lula et Anaé, trois amies d’école de 14 ans. Toutes, consciemment ou non, posent la question de leur rapport à la féminité à cet âge où l’on n’est clairement plus une enfant, mais encore loin d’être adulte. Cet âge où les hormones sont en ébullition, où tout le monde ne parle que de sexe mais où personne ne le connaît. Cet âge où les stéréotypes de genre sont les plus exacerbés et la pression à s’y conformer, la plus violente.
Mise en scène/écriture : Marina Yerlès | Avec : Juliette Ban, Stanislas Brodart, Élise Eveno, Lucile Marmignon | Scénographie et création vidéo : Georgia Maria Papoutsi | Assistanat : Manon Perrouelle | Création lumière : Gaspard Samyn | Un spectacle de : Réflexive Compagnie | Soutiens : Fédération Wallonie-Bruxelles, Plateforme Factory/ Liège, Centre culturel Wolubilis, Ad Lib Diffusion, Maison de la Création, Centre des Écritures Drama-tiques (CED), Fabrique de Théâtre, Centre culturel de Seraing, Arts & Publics | ©Georgia Maria Papoutsi | Durée : 45'
SO!?what*
Ariadna Gironès Mata
C.C/. CHenee
manege fonck
12.09 - 19h
13.09 - 19h
Cette performance combine chorégraphie et arts visuels.
SO?!WHAT est un seule en sècne qui combine harmonieusement la chorégraphie, les arts visuels et plastiques. Ariadna Gironès danse à travers différentes physicalités en pliant, déformant et transformant son corps. Une performance qui vise à réfléchir sur les notions binaires de féminité et de masculinité dans la société, ainsi que sur les attentes restrictives en matière de genre imposées tout au long de l'histoire et aujourd'hui.
Par le mouvement, la voix et l'utilisation de prothèses, Ariadna cherche à nous faire comprendre le poids des injonctions de la société. Ainsi, la performance est une combinaison unique d'images picturales, d'un univers anxiogène et non conventionnel, soutenu par une création sonore qui mêle voix off, musique électronique et rythmes inspirés de la musique indienne.
C'est à travers les échos de la musique indienne que le chemin d'Ariadna converge avec la puissante figure de la déesse hindoue Kali, qui personnifie la liberté illimitée et existentielle, incarnant des qualités à la fois impressionnantes et intimidantes. C'est une guerrière, une mère nourricière, une amante sensuelle et un symbole de vie et de mort entremêlées. En incarnant cette divinité paradoxalement grotesque, elle guide le public dans un voyage qui ouvre la voie à la libération et à l'autonomisation.
Porteuse de projet & performance : Ariadna Gironès Mata | Conseil chorégraphique : Lisbeth Gruwez | Oeil extérieur : Esse Vanderbruggen et Joseph Rioton | Création lumière : Hugue Dinard | Artiste visuel : Sandra Ordoñez | Création sonore : Perrine Sauviat (DJ La Fraicheur) | Scénographie : Betty Cau | Texte : Lluna Gay, François Maquet | Avec le soutien de : Voetvolk/Lisbeth Gruwez & Maarten Van Cauwenberghe, Garage29, La Roseraie, Carpa Revolució, Bolivianow, CCBarceloneta, Equal.Brussels, Commune de St-Gilles, Mac Kam Production, GC Den Dam, La Maison de la Création, Vlaanderen, De Grote Post, La chaufferie acte 1, LookIn'OUT, Cocq'Arts, Dans-vitrine, Parhasard | ©Sandra Ordóñez | Durée : 35'
Nelly Framinet
manege fonck
15.09 - 19h + 16.09 - 17h
Le Seigneur des porcheries ou le temps venu de tuer le veau gras et d'armer les justes.
Notre décharge. Toute notre vie nous avions été assis sur un baril de poudre. Nous nous sommes laissés traiter comme des sacs à bites à douze dollars la passe dans une ruelle pleine de clodos. Si par exemple, nous décidions arbitrairement de quitter le travail... »
Écrit par Tristan Egolf, un musicien punk de 25 ans, ce roman est un cri enragé contre le bêtise humaine. Un portrait de l'Amérique et plus largement de nos sociétés occidentales brossé à l'humour noir, où le tragi-comique cohabite avec le grotesque et la poésie.
Une épopée rock qui nous plonge dans des questions de justice, de violences sociales et institutionnelles, et interroge nos capacités de désobéissance. Quelle force nous faut-il pour changer le cours de l’histoire ?
Mise en scène : Nelly Framinet | Avec : Julien Courroye, Marie Denys, Sophie Jaskulski et Gaetan Lejeune | Lumière : Emilie Brassier | Scénographie : Aline Breucker | Costumes : Sophia Vogeleer | Coach vocal : Ségolène Neyroud | Assistante : Karine Jurquet | Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles | Avec le soutien de La Fabrique de théâtre, La chaufferie acte 1, La Maison des cultures de St Gilles, La Cie du Vendredi, La Plateforme Factory/Liège | Remerciements : Le Théâtre National Wallonie-Bruxelles, Arsenic2, Collectif Transquinquennal | ©La Fabrique de théâtre | Durée : 45'
4 presentations de projet
Glisser, tomber*
Dephine De Baere
C.C/. CHenee
studio/Manege
12.09 - 20h
16.09 - 19h30
« Sur la scène d’un théâtre, apparaît une femme. Elle avance. Glisse. Et tombe… »
Delphine De Baere dépeint ici les hypothèses de son prochain spectacle : une femme prise dans la tempête qui lutte contre les mots, les objets qui échappent, le décor qui s’écroule. Ces Imprévus, réactions en chaîne et autres lazzi-catastrophes sont là pour rendre compte de l'intériorité d’un être anxieux.
Inspiré entre autres par Samuel Beckett, Buster Keaton ou encore Jerry Lewis, ce seule en scène tragi-comique emprunte son style au burlesque. Le rire n'est-il pas une arme pour tenir debout dans la difficulté ? Il est en tous cas un moyen d’émancipation.
GLISSER, TOMBER serait une performance théâtrale physique et jubilatoire. Ce serait la métaphore de nos essoufflements, angoisses et tentatives ratées d’être les « meilleures versions de nous-même ». Ce serait une révolte pour briser la solitude, rejeter les injonctions et trouver une place –aussi modeste soit-elle– dans un monde exigeant, absurde et contradictoire.
Écriture/mise en scène/jeu : Delphine De Baere | Aide à l'écriture et Regards extérieurs : Rémi Faure El Bekkari, Jules Puibaraud | Soutien : le BAMP | Remerciements : le Bocal asbl, le Festival de Liège, la Bellone, les Halles de Schaerbeek | ©Narcisse Chaillou-Portrait de ma nourrice | Durée : 30’
Martin Rouet
studio/Manege
14.09 - 19h
À l'écart de la société ; nous observons un être vivre ce qui pourrait être les derniers instants de son existence. Dans son habitat aux allures de bunker – télévision et caméra sont ses derniers liens avec l'extérieur. Il se filme, il joue, il documente sa chute dans un dernier espoir d'exister au monde.
The best of me, c'est le récit onirique d'une vie en chute libre. Comme un film muet qui vient raconter ce qu'on peine à expliquer : nos états de dépression. Qu'est-ce que notre propension à se perdre dans nos vies a à nous raconter ?
Dans un monde où l'individualisme est poussé à son paroxysme : à la recherche du meilleur de soi-même, il est parfois impossible de se réaliser et la rupture peut paraître inévitable. Comment sortir du noir ? Vivre ou mourir c'est le choix qui se pose à notre protagoniste. C'est dans une volonté de trouver une issue que ce laboratoire « expres-sionniste » se pose.
Mise en scène et jeu : Martin Rouet | Création musicale : Sarah Espour | Création vidéo : Nell Webert-Simon | Assistant à la mise en scène : Luca Denti | Soutien : Plateforme Factory/Liège | Durée : 30'
Céline Beigbeder
studio/Manege
16.09 - 17h50
Les personnes en situation de handicap intellectuel vivent le plus souvent et dès leur enfance dans un monde parallèle, institutionnalisé et médicalisé. Le mot « handicap » protège-t-il ou exclut-il ? Peut-être les deux… Mais alors que raconte ce double mouvement ? Le «handicap» renverrait-il l’être humain à ses peurs existentielles d’incapacité et d’interdépendance ?
Ce projet a pour but d’inverser le regard sur les personnes en situation de handicap intellectuel pour révéler ce que leur absence raconte de notre société. Société qui compare, hiérarchise les individus et leurs intelligences.
C’est depuis sa place de mère d’un enfant extraordinaire que Céline aborde le spectacle. Son témoignage en est la colonne vertébrale. Elle nous parle de sa chance d’être en lien à une autre représentation du monde, reliée à la joie et à l’essentiel.
Elle fait dialoguer son témoignage avec celui, filmé, d’artistes en situation de handicap. À ces témoignages, viennent se tisser des scènes de fiction. Comme un miroir grossissant, la fiction révèle l’étrangeté de situations souvent perçues comme «normales». Utopie et dystopie s’entrechoquent et la projection vers le futur vient révéler le présent.
TITRE PROVISOIRE - De et par : Céline Beigbeder | Soutiens : La Fabrique de Théâtre, Le Boson | Durée : 30'
Lucile Marmignon
studio/Manege
15.09 - 19h50
Quand je prononce leurs noms, mes morts ressuscitent.
Claribel Alegria
Aussi loin que je me souvienne, l'histoire de ma famille et de la mort de ma mère a toujours été la même: Flo est morte, le père est exclu, les filles placées. Seulement voilà: cette histoire que je pourrais représenter c'est celle des archives, de celles et ceux qui ont décidé et qui ont eu voix au chapitre, mais ce n'est sûrement pas celle de ma mère, de mon père ou des autres voix tues. Nous partons alors à leur recherche.
Flo est un projet d'enquête qui cherche le moyen de rappeler les mort.e.s de nos histoires et à questionner les représentations de celles-ci. Partant de ce récit intime, nous tentons d’élargir la brèche entre le monde des mort.e.s et des vivant.e.s pour partir à la rencontre d'autres voix écarté.e.s de nos histoires, non pas par excès de timidité, mais bien par le fait que l'ordre du monde ne les écoutait pas.
Flo n'est pas un geste purement documentaire. S'il y a les mots et les dates en Histoire, le terrain de la mémoire est ici celui du jeu. Comment incarner ce qui, précisément, n'existe plus ou par traces parcellaires? Questionnant la subjectivité de nos mémoires et de nos jeux, c'est la recherche autour du doute sur ce que pouvait être une personne. C'est l'ambivalence du "à quoi joue-t-on" qui sera le révélateur de la bataille de qui détient le récit.
Conception/jeu : Lucile Marmignon | Collaboration artistique : Laurène Hurst | Dramaturgie : Anna Thiriot | Soutiens : l'ESACT, La chaufferie acte 1, Theatre&Publics, La Mêlée asbl | Durée : 25’
3 etapes musicales
ottus*
C.C. CHENEE
12.09 - 21h15
OTTUS met en musique des récits fantastiques et poétiques, convoquant les réalités du monde contemporain. Produit d'expérimentations, les idées musicales s'entremêlent et donnent une voix à un imaginaire aventureux. Leur musique s'affirme dans les contrastes ; le son plane à mi-chemin entre l'électrique et l'acoustique. La voix syncopée du chanteur révèle des harmonies vocales, progressives et aériennes. Les mélodies composent une atmosphère empreinte d'énergie et de nostalgie. Ottus, c'est le nom scientifique du hibou. C'est un abri qui invite à la rêverie. C'est un écho qui convoque l'écoute. C'est un ramage entraînant, symbole du narrateur. C'est un hibou raconteur d'histoires.
Chant (lead), guitare, mandoline, clavier : Loïc Holzemer | Chant, accordéon, clavier : Joachim Loneux | Chant, basse, banjo : Fanny Vandenbergh | Batterie, SPD Jérôme Colleyn | Technicien : Jérôme Baum | ©Raphaël Gilles | Durée : 45'
Au Centre Culturel de Chênée, rue de l'Eglise 1-3 - 4032 Liège
Manege fonck
15.09 - 21h45
De vos pensées les plus sombres à vos idées les plus folles, Léa Pochet retrace l'histoire d'une vie... votre histoire. Ses morceaux voyagent entre une véritable descente aux Enfers et un monde lumineux. Personne pour vous placer dans une case. Des démons qui se baladent dans votre tête, les murs se resserrent, les portes se claquent, mais vous ne vous êtes jamais sentis aussi vivants. A toutes les petites âmes perdues, ces chansons sont les vôtres.
Depuis ses débuts (2014), elle crée un univers aux ambiances pop/rock et aux allures obscures. Son répertoire caméléon alterne douces ballades et chansons aux rythmes enflammés. (1ère partie de BJ Scott, Birdpen ou encore Romain Humeau (EIFFEL), finaliste belge du concours Imagine, quart de finaliste à The Voice Belgique...).
Chant, Guitare, Piano : Léa Pochet | ©Loïc Warin | Durée : 45'
Manege fonck
16.09 - 21h
Lemon Felixe est le nouveau projet musical de Fanny Van hammée (Faon Faon, Dalton télégramme, Friday Frida). En solo, l’artiste y aborde des thématiques personnelles et colorées.
Au fil de ses écrits, l’artiste dépeint un quotidien, à la fois banal et merveilleux ainsi que des sourires et des regrets d’un passé pouvant, parfois, se conjuguer au présent. Sincérité et simplicité se dégagent ainsi naturellement des textes.
La musique, quant à elle, s’avère volontairement plus sinueuse tout en demeurant résolument pop. Le chant, élément précieux du projet, vient finalement souligner toute la douceur de la proposition.
Olivier Cox (Sharko, Dan San…) aura produit 4 titres du projet alors que Quentin Maquet (Bérode, Dalton télégramme ) en aura écrit 2.
Claviers et autres supports : Fanny Van hammée | Bassiste et choriste : Fanny Vandenbergh | ©Gaëtan Streel | Durée : 45'
1 creation
5 etapes de travail
4 presentations du projet
3 etapes musicales
PASS FACTORY 16€
Le Pass Factory est valable les 5 jours et donne accès à toute la programmation.
J'AI LES BLEUS DE L'ORAGE* & les concerts OTTUS, LEA POCHET, LEMON FELIXE**
sont également accessibles hors Pass Factory au prix de
*14€ (tarif plein) – 12€ (tarif réduit)
**10€ (sur place) – 8€/place (prévente)